"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« Pas un jour sans une ligne » : fidèle à la phrase latine que Zola avait gravée sur le manteau de sa cheminée, Jean Bellaiche publie le volume 3 du Journal de deuil qu'il a commencé au lendemain de la mort de son compagnon, François Archinet.
Rédigé sous la forme d'un énoncé fragmenté, ce texte peut être vu comme le lieu d'une possible résurrection de l'être aimé. L'écriture renvoie dans une autre dimension le chagrin de l'auteur, qui au lieu de nous faire oublier les morts pour ne nous laisser en mémoire que les larmes, inscrit sa mémoire dans l'histoire.
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