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Les transcriptions des opéras de Richard Wagner réalisées par Franz Liszt sont au nombre de quatorze. Elles se distinguent par leur extrême variété. Certaines sont des ouvrages « sérieux » qui se contentent de reproduire au piano les effets de l'orchestre. Transcription de l'air final de l'opéra Tristan und Isolde, datée de 1867. D'une durée de six minutes environ, elle est très ardue, non seulement d'un point de vue technique, mais pianistique. L'oeuvre est très fidèle et suit constamment le fil mélodique de Wagner. Pour parvenir à restituer ce passage complexe, Liszt a usé d'une grande ingéniosité : outre les outils classiques du transcripteur, il fait appel à de nombreuses innovations. De la sorte, le pianiste peut faire cohabiter jusqu'à cinq voix en même temps. Notre but est de montrer un genre de transcription pianistique nouveau et autonome, apparu dans l'époque romantique, raffiné par Liszt d'origine orchestrale à partir de la pièce ciblée par notre recherche. Aussi on a voulu comprendre le travail thématique du transcripteur et ses propres procédés d'écritures et ses techniques compositionnelles qu'il les a exploitées dans sa transcription.
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