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Dans La surface meuble du monde, l'auteur envisage la poésie sous les différentes séquences d'une promenade, depuis le poème « Orée » qui ouvre le recueil jusqu'à celui qui clôt la première partie, « L'Étincelle, la splendeur du possible ». Cette promenade à la surface meuble du monde est également un trajet intérieur, où les paysages et les êtres approchés dans la réalité ne sont convoqués que pour leurs résonances sur notre coeur, leurs fonctions d'échos aux bouleversements que nous traversons ou leurs réponses aux situations sans issue.
Dans la seconde partie du recueil, la quête s'organise autour des images liées aux souvenirs enfouis, à l'enfance, en passant par la création d'univers mythiques pour finir par la pure nomination des beautés plurielles recelées par le monde, dans « Les gestes essentiels » et « Une phrase si longue ». L'ultime texte du recueil n'est que le douloureux constat que nous laisse un monde dévasté.
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