"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Iêgorouchka n'a pas encore dix ans lorsqu'il entreprend au coeur de l'été son premier grand voyage. Et ce sera pour lui la découverte émerveillée de la steppe russe, de cet océan sans vagues où quelques marchands naviguent en convois sur la grand-route, de ses lointains bleus traversés de brusques orages, de sa faune secrète ou familière, de son peuple de bergers ou de cavaliers évanescents. Les veillées à la belle étoile où l'on forge le trésor des contes lui ouvriront aussi la porte des rêves. Mais les mystérieux kourganes en faction depuis le fond des âges conserveront tous leurs secrets.
La Steppe, c'est aussi l'enfance revisitée par un écrivain encore jeune engagé non sans appréhension sur les traces des maîtres qui ont chanté la nature russe : Tourguéniev, Tolstoï et surtout Gogol.
Tchekhov voulait qu'on lût son récit "comme un gourmet mange les bécasses". Plus d'un siècle après sa publication, il n'a rien perdu de sa délicate saveur.
Un récit flamboyant, dans une traduction éblouissante de Vladimir Volkoff.
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