"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
C'est en prison, au cours de l'été 1923, que Hayama Yoshiki rédige La Prostituée. Trois hommes forcent le narrateur à leur céder son argent. En échange, ils le conduisent jusqu'à une femme agonisante, qu'ils semblent détenir contre sa volonté : « un cadavre qui respire » dont ils lui offrent de faire ce qu'il voudra...
Le dialogue qui s'engage pose des questions qui restent aussi urgentes que dérangeantes : consentement, conscience de l'exploitation, utilité de la vie misérable...
Est-on toujours l'exploité de quelqu'un ? Est-on toujours l'exploiteur de quelqu'un ? Et la plus terrible : « Mais sauver les gens, est-ce que c'est faisable ? » Véritable bombe, ce texte reste le contemporain manifeste de notre époque précaire, marquée par les flambées de colère et les horizons de crise.
Une nouvelle très courte concernant une femme agonisante et malade dont certains hommes se serve afin de pouvoir subvenir a leur besoin ainsi qu' a ceux de celle ci.
Contre quelques pièces des hommes vous conduise auprès de cette femme mais celle ci est très sale et très malade, une nouvelle qui m'a déranger, dont je n'ai pas réussi a y trouver un quelconque intéressement.
Livre écrit par l'auteur en prison dans un but que je n'ai pas réussi a définir...
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