"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Mademoiselle Radicelle dirige avec fermeté la pension portant son nom, composée d'une dizaine d'individus hauts en couleur. Parmi les membres les plus éminents notons Saturnin inventeur génial, mais dont les découvertes ont des conséquences catastrophiques, Isidore à la fois poète et chasseur, Nestor spécialiste en farces pas toujours de bon goût, Amadou et Anna les deux petits noirs facétieux, sans oublier la brave Tant'Bouille, fin cordon bleu et souffre- douleur de mademoiselle Radicelle. Histoire de changer de temps en temps de décors la Pension s'est fixée dans un village abandonné, sur une île (presque) déserte puis enfin sur une péniche après avoir squatté un immeuble en ruine. Cette saga burlesque à souhait a été présente dans les pages du mythique « Vaillant » de 1947 à 1968. De son trait alerte et bon enfant Eugène Gire a illustré avec une belle régularité les gaffes de cette joyeuse bande, typique de la France des années 50...
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