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Le suaire d'Oviedo est un linge taché de sang qui aurait été posé sur la tête de Jésus après sa mort. Relique aussi mystérieuse et problématique que le Suaire de Turin - dont l'exposition en 2010 a amenée plus de deux millions de fidèle -, elle frappe par sa complémentarité avec ce dernier : même groupe sanguin, cohérence parfaite avec les évangiles ; que ces deux reliques illustrent et auxquelles elles apportent le poids d'un « témoignage sur le témoignage », muet, mais terriblement réaliste.
Ce qui frappe également l'observateur de bonne foi de ces deux linges, c'est leur surinformation en données scientifiques très précieuses, qui échappaient totalement aux connaissances des contemporains de l'événement auquel elles se rapportent.
Et à l'examen, il apparaît aujourd'hui qu'aucun homme n'aurait pu subir sans défaillance majeure et jusqu'au bout cette épreuve véritablement surhumaine montrant que le Christ a bien revêtu notre condition d'homme en toute chose, et qu'il peut dire à chacun et pour l'éternité : Ce n'est pas pour rire que je t'aime.
La synthèses passionnantes des études historiques, scientifiques et médicale, permettant de reconstituer le parcours de souffrances physiques et morales du Christ.
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