L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Grâce aux progrès de la médecine, la mort est toujours pour plus tard. Aussi le regard que nous portons sur elle doit-il également changer : elle n'est pas une instance extérieure à la vie, elle en est une composante, un moment nécessaire et « naturel ».
C'est pourquoi les droits et la liberté qu'on reconnaît aux vivants doivent s'étendre à leur mort. Contre l'acharnement thérapeutique ou contre des décisions de soins prises par d'autres, chacun de nous peut choisir la date et les modalités de sa mort, à condition toutefois de changer la législation en vigueur.
Tel est le point de vue défendu par ce livre qui prend en compte et réfute les arguments adverses mais qui témoigne aussi d'un engagement personnel, Jacques Pohier relatant les cas où lui-même a aidé quelqu'un à mourir.
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