L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
On peut considérer ce livre comme le poème-testament, ou le testament poétique, de Claude Esteban. C'est un poème terrible et magnifique, écrit avant, pendant et après son hospitalisation - juste avant sa mort. L'important n'est pas ici sa construction parfaite en cinq parties, faisant alterner des récits en vers minimalistes avec des poèmes courts ou des proses poétiques, ni sa langue épurée et musicale ; c'est l'extrême lucidité de l'auteur devant la mort qui vient et le bilan sensible qu'il tire de cette expérience. S'il tente encore de mettre la mort à distance, c'est maintenant sans illusions, en la regardant bien en face et dans un poème débarrassé du souci de plaire ou d'être à la mode, dans un poème vital, vivant. Car Claude Esteban y mesure sa vie à l'aune de la douleur, de l'angoisse, du néant. D'un coup, les êtres, les choses, les mots acquièrent un autre poids, celui du réel et de la vérité.
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