Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
La Marchandise est 1e premier chapitre du Capital, dans la traduction française de Joseph Roy "entièrement révisée" par Marx lui-même.
Ce chapitre parut en France en 1872, au prix de dix centimes. Ainsi publié sous forme de petits fascicules, en livraisons périodiques, Le Capital, ouvre immense mais chère, "sera plus accessible à la classe ouvrière, et pour moi, déclare Marx à son éditeur français, cette considération l'emporte sur toute autre". Ainsi, en publiant à part ce premier chapitre du Capital, "Les Philosophiques" entendent prendre le voeu de Marx au sérieux et rendre accessible une ouvre fondamentale dont la taille risquerait de condamner le plus grand nombre à n'en rien lire du tout.
Il se trouve en outre que La Marchandise n'est pas un simple chapitre parmi d'autres, mais contient l'une des trouvailles les plus importantes de tout Le Capital, de l'avis même de Marx. Et aujourd'hui encore, pouvons-nous nier l'importance de ce concept de marchandise, nous qui baignons dans un monde de marchandises et qui affirmons que l'école, la santé, le monde ne sont pas des marchandises ? Mais savons-nous au juste ce que c'est qu'une marchandise ? Pour ne pas se contenter de juger et de condamner le présent, La Marchandise nous offre les moyens conceptuels de le comprendre.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Un véritable puzzle et un incroyable tour de force !