L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Ce n'est pas l'histoire d'une maison de famille, ni des archives de famille, ni des souvenirs d'enfance, ni un règlement de compte avec une mère.
C'est néanmoins un peu tout cela aussi. Mais ce n'est pas ce qui compte : c'est un homme seul qui soliloque plutôt avec joie, une fois n'est pas coutume.
Ce livre a été écrit d'une traite au cours d'un bel été dans un beau pays. C'est un livre de paroles, des paroles qui ne s'adressent qu'à celui qui parle et à Dieu.
Pourquoi un traité de philosophie ? Parce qu'il parle de la décadence, du moderne, du suicide de la culture, du nihilisme européen, du déclin de l'Occident, des noms propres, des noms communs, de la pensée, de la guerre. Il est récité avec des gesticulations de drôlot ou de traîne-patins sur les bords d'un oued.
Il y aura bien quelqu'un qui en captera quelques bribes et alors on prendra langue avec le premier venu. On passera du monologue au dialogue philosophique.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique