L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
La lune, à ma voix, descend sur la terre;
Le soleil s'arrête au sommet des cieux;
Je commande aux morts, aux démons, aux dieux L'impossible, allons, j'en fais mon affaire!
(Karpuramanjari, I, 25, rôle du sorcier folâtre.) Ne pas croire en la magie n'est point une raison de la dédaigner. Elle a tenu, dans la constitution des sociétés primitives et dans le développement même de l'esprit humain, une place dont tous à peu près sont d'accord et que d'aucuns seraient plutôt portés à surfaire qu'à ravaler.
Victor henry, professeur de sanscrit et de grammaire comparée des langues indo-européennes à l'université de la Sorbonne au début du 20ème siècle, nous livre ici un aperçu des connaissances magiques et ésotériques telles qu'elles s'inscrivaient au sein de la religion et de la société indienne Védique (entre le 2ème millénaire et 500 av. JC), Brahamique (-600 à 500) puis Hindoue, dévoilant ainsi l'importance qu'ont pu revêtir la magie et l'ésotérisme dans le développement de ces civilisations, et permettant d'appréhender sous un oeil nouveau les syncrétismes modernes fondés sur les traditions magiques et spirituelles indiennes.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique