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« Si l'on voulait donner une idée de la vie de ce camp, le mieux serait de le faire sous forme de conte. ». C'est ainsi que, dans une de ses lettres datées de 1943, s'exprime Etty Hillesum, alors détenue au camp de transit de Westerbork. Olivier Risser a souhaité lui rendre hommage et s'est prêté au jeu de l'écriture.
Voici, à la manière dont on pourrait la raconter à des enfants - mais cela s'adresse aussi et surtout à des adultes - une évocation de la vie au camp de Westerbork, au cours des années 1942-1943, tissée d'extraits des journaux laissés par Etty Hillesum et par Philip Mechanicus, un journaliste codétenu avec qui elle se lia d'amitié.
Mais le récit, inspiré par la figure de cette femme à la vie bouleversée et par son inlassable amour du prochain, cherche avant tout comment trouver, même dans la nuit du mal, presque à tâtons, le chemin qui mène à la lumière. Par sa grâce et son indéfectible foi, la fée qui vient en aide à Sacha, le personnage principal, nous guide et nous ouvre la voie.
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