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Yvan Elissalde entreprend de redonner à la culture un sens propre, par distinction d'avec un sens non spécifique parce que trop large (la civilisation). Contre les usages inflationnistes actuels qui nomment complaisamment " culture " n'importe quelle habitude ou tradition de groupe, il convient de ramener son sens à l'idée d'un " travail de soi sur soi " (on cultive son esprit comme le cultivateur son champ, selon la vieille métaphore d'origine cicéronienne), ce qui implique une redéfinition non anthropologique, qui fait sa part à la dimension éthique (fonction de la première partie).
Pour autant, le sens large fait l'objet d'un traitement ad hoc qui montre, outre sa spécificité non culturelle, son articulation avec la culture proprement dite (fonction de la troisième partie) : la culture n'est donc ni la civilisation ni, bien sûr, sans la civilisation. Le point commun, qui fonde les deux développements, est une théorie de l'homme (une anthropologie philosophique mais non scientifique), car culture ou civilisation, il s'agit toujours d'humanisation : c'est la thèse qui est soutenue en seconde partie, et qui sert de pivot pour rendre raison de l'ensemble, le centre de la " toile d'araignée " du système.
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