Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Après la Commune, l'évidence du citoyen insurgé exerçant sa souveraineté fusil à la main ne disparaît pas totalement mais se transforme. L'arme devient un sphinx des mouvements révolutionnaires, surgissant dans les discours ou lors des actions, perpétuant en mode mineur la démocratie directe de la république de 1792. Puis, dans le monde communiste, l'arme devient un spectre. Perpétuellement invoquées, elles peinent à se matérialiser hors de l'autodéfense antifasciste, tant elles sont des objets indisciplinants, incompatibles avec l'exigence kominternienne. L'adieu aux armes, l'illégitimité de leur présence en politique, s'opère après les grèves de 1948, où leur présence en temps de paix est sans équivalent depuis 1871. Disparaît alors un rapport révolutionnaire aux armes né en 1789.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force