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Aucun des textes regroupés dans La République coopérative n'épargne le mythe scientifique de l'économie libérale, réputée objective et intrinsèquement cohérente. À chacune de ses interventions données entre 1889 et 1932, Charles Gide s'évertue à démontrer le sérieux de l'économie sociale, alternative réformiste, et nécessaire au capitalisme. Réfutant le procès en idéalisme du mouvement coopératif, il est cependant sévère face aux faiblesses de ce dernier en termes de professionnalisation et d'organisation. C'est ainsi qu'il prône le même recul à l'égard du terme de solidarité qu'à l'encontre de celui de profit. Gide est en effet convaincu qu'aucune de ces notions n'est définissable de façon univoque et propose à tous un aggiornamento de la science économique.
Refusant le déterminisme et l'ordre naturel présupposés par les classiques, Gide conteste également la victimisation des classes populaires, convaincu qu'il est possible de les éduquer afin qu'elles fassent partie intégrante de l'aventure coopérative. Ces extraits témoignent donc tout autant de la rigueur de Gide que de la multiplicité des réseaux auxquels il appartenait, des organisations qui lui faisaient confiance et de la portée de ses paroles à une époque pas si éloignée de la nôtre.
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