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« Où que j'aille, où que je regarde, quoi que j'entende à la radio ou à la télévision, tout me rap- pelle le Londres de 1984 ». Le dissident slovaque Milan Simecka rendait ainsi hommage à l'ahurissante lucidité de George Orwell. L'écrivain anglais restera le seul à avoir su saisir, comprendre et exprimer l'essence même des inventions politiques monstrueuses du vingtième siècle - qu'on les nomme tyrannies modernes, religions séculières, totalitarismes, Sphinx ou Béhémoth.
Son oeuvre a conservé entière sa puissance de stupéfaction.
En 2017, après une élection marquée par les fake news et la notion de post-vérité, 1984 se classa en tête des ventes des livres aux États-Unis. Pour quelles raisons cette oeuvre continue-t-elle de nous parler à ce point ? Quel point de vue a permis à son auteur de voir et d'exprimer ce que les autres ne voyaient pas ?
Et si l'enfance était cet arrière-pays dont s'est nourri la lucidité de George Orwell ?
Cet essai propose d'interroger le rôle-clef joué par l'enfance dans l'oeuvre de l'auteur de 1984.
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