Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Kleist et Wilhelmine, sa fiancée qui aimerait que la vie soit simple. Kleist et Ulrike, sa demi-soeur qu'il désespère. Kleist et Ernst von Pfuel, l'ami le plus proche. Kleist et Marie, l'épouse d'un de ses cousins. Kleist et celle qu'il baptise Henriette, et qui l'entraîne dans la mort... Kleist et son orgueil, son esprit affamé qui veut «tout sacrifier à la beauté intérieure». Quel extraordinaire portrait, en quelques dialogues! «Je vois l'âme du monde derrière ses masques», dit-il. Mais il ajoute:«Derrière cette âme, il y a une pureté.» L'absolu, Kleist semble prêt à le prouver par la preuve ontologique. Il assure qu'il n'aurait pas soif, si l'eau n'existait pas. Dans les brèves scènes campées par Jean Grosjean, apparaît aussi une certaine idée de la Prusse, que nul n'incarne mieux, paradoxalement, que le lieutenant Heinrich von Kleist, qui n'avait pas supporté l'armée. Cette Prusse, nation idéale, n'a pas de natifs. «Elle est faite de ceux que fascine l'abnégation.»
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