L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Par cet écrit - et cri de vie qui est aussi une maladie mortelle sexuellement transmissible - Plumot habille la poussière de son humaine condition de mots comme pour en exorciser les maux.
Sa poésie ne sait pas chanter la « beauté des oiseaux ».
Elle est regard intérieur.
Les émotions sont souvent furtives, fugaces.
Il les arrache à cette immédiateté, illusoire et vain défi au temps, pour les décrire avec l'objectivité de sa subjectivité.
À moins que ce ne soit le contraire.
Le monde dans lequel il erre est loin de la froide pensée cartésienne.
C'est un monde où deux et deux peuvent faire aussi bien cinq, cent que trois.
Et parfois, plus rarement, quatre.
Sa plume est sous l'influence de deux muses qui aiment venir le hanter.
L'amour et la mort.
Ou dit différemment la Femme et le sens de la vie.
Il arrive que ses deux courtisanes tissent dans l'inspiration une intime complicité.
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L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
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