"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Précieusement conservé par ses descendants, le " Journal de captivité en Russie " (1813-1814) écrit par Désiré Fuzellier, médecin de la Grande Armée, est, au-delà de la vision ingénue et parfois incrédule d'un jeune bonapartiste, un des rares témoignages directs sur les captivités des survivants de la Campagne de 1812, et sur l'état exacte de la " Russie profonde " au début du XIXe siècle.
Désiré Fuzellier avait été incorporé comme officier-médecin de la Grande armée. Fait prisonnier en Pologne, juste après la dramatique retraite, il est transféré en Russie et y restera deux ans. Il y apprendra le russe, se mêlera à la population, tombera amoureux et rédigera presque au jour le jour son journal de captivité. Cependant, au-delà de sa valeur historique, ce récit nous apporte une dimension littéraire, et non des moindres : celle de Victor Hugo.
En 1837, alors que l'auteur des Misérables séjournait à Montreuil, il y rencontra le médecin-chef de l'hôpital de cette petite ville : un certain Désiré Fuzellier. Le " bon médecin " qui assistera Fantine, la mère de Cosette, dans ses derniers instants, a réellement existé...
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !