Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Josef Ofer est né à Tel Aviv, en 1965 ; il entre à l'Ecole des Beaux-arts de Paris, à 17 ans, ce qui en fait un des plus jeunes élèves à y avoir été admis. Il expose tout d'abord des scènes animalières, très colorées, un peu partout en Europe. Puis, soudain, en dépit du succès, il rompt. Il part vivre en Amazonie, sur les bords du Rio Négro. Alors, naissent ces dessins en noir et blanc qui font songer au Goya des Caprices ; il montre notre monde comme Goya montrait celui de son époque, en déchirant tous les voiles d'hypocrisie. Si la préface de Jean-Pierre Barou, « La maison Ofer » met l'accent sur cette parenté avec le maître espagnol, l'ouvrage doit d'abord et surtout aux reproductions des dessins de Ofer à la mine de plomb, près d'une cinquantaine, révélant son talent de rêveur intempestif, agitant des squelettes facétieux, des rondeurs féminines, et jusqu'à un chaos lequel n'est pas sans nous rappeler qu'il vient d'un peuple qui a connu la Shoah.
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