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Sur l'île Fanac, l'horloge de l'ancien bâtiment de la Société Nautique de la Marne s'est arrêtée définitivement le 25 octobre 2005 à 3 heures du matin, en disparaissant dans un immense brasier. Elle rythmait la vie des Joinvillais, des canotiers, des rameurs et des mariniers depuis 1883. Joinville-le-Pont avait déjà été victime de plusieurs incendies mémorables au cours de son histoire (les studios de cinéma et le dancing Maxe). L'automobile a ensuite fait disparaître la rue du Pont et ses commerces, engloutis par la RN 4 ; puis ce fut l'A4 qui massacra les bords de Marne et les habitations situées sur chaque rive. Ce dernier coup du sort nous rappelle la fragilité de notre patrimoine, mais également celle de notre mémoire. Rares sont les Joinvillais à avoir connu l'ancien pont de pierre. Les moins de 30 ans ne peuvent pas imaginer la Marne avant le viaduc autoroutier. Cet ouvrage est donc destiné à faire revivre un passé parfois récent, avec des documents pour la plupart inédits.
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