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Quoi de commun entre le Gavroche de Victor Hugo, le Tom Sawyer de Mark Twain et le Holden Caulfield de L'Attrape-coeurs ? Je m'appelle Koja s'inscrit dans une tradition littéraire universelle : la quête de liberté d'un enfant plein de malice. Ce héros kazakh de la période soviétique fait les quatre cents coups, s'initie au braconnage, tombe amoureux et fugue bien sûr... Sa soif d'émancipation est démesurée, à l'image des steppes de l'Asie centrale qu'il parcourt à cheval. Rien ne semble pouvoir mettre fin à ses bêtises, sinon ses talents de poète qui prennent la forme d'un roman d'apprentissage dont le vrai héros est peut-être la nature sauvage. Et Je m'appelle Koja de nous initier à une civilisation ancestrale en nous mettant dans les pas d'un enfant qui cherche sa place.
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