"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Âmes sensibles s'abstenir :
Un nouvel auteur choc qui va bousculer le polar français !
Paolo, guitariste dans un groupe de rock underground qui vit à la Goutte-d'or, est dans la mouise : il a emprunté des sous à des caïds de son quartier et n'a aucun moyen de les rembourser, malgré leurs menaces de plus en plus violentes. Heureusement, il trouve un plan en or : faire de la filature pour un détective privé. C'est ainsi que Paolo se retrouve à suivre Birdy, toute jeune femme de milieu aisé qui a tout plaqué pour vivre avec un groupe de squatteurs. Sa famille est très inquiète. Paolo découvre avec stupéfaction que Birdy mène une vie encore plus sombre et destructrice qu'il n'y paraît.
En toile de fond, une crise sanitaire explose. Des douzaines de jeunes meurent en revenant de soirée après avoir consommé une nouvelle pilule bleue qui fait fureur. L'inspecteur Ibanez, gitan d'origine, est chargé de l'enquête. Bientôt, tout le monde s'arrache cette nouvelle drogue, sorte de « roulette russe chimique » qui donne lieu à des fêtes clandestines des plus dérangeantes. Birdy y est mêlée aussi, et Paolo se retrouve à son tour embringué dans un univers de débauche sexuelle insoupçonnable, et dont les manettes s'avèreront tenues par des groupuscules aux idées plus que radicales. Ibanez comprend que Paolo peut l'aider à boucler l'affaire. La mission du musicien prend alors une tout autre allure pour mettre un terme aux ravages d'une drogue qui cible la jeunesse française.
Des bas-fonds de Paris aux salles de répètes, Je m'appelle Birdy offre un voyage choc dans les ténèbres de la nuit parisienne et des circuits fascisants, en imaginant avec lucidité et provocation un scénario aussi haletant qu'effrayant.
La promesse d’un roman trash, musical où il faut s’accrocher au risque d’y perdre son âme, comme certains personnages, a fait que Je m’appelle Birdy a malheureusement pris un peu la poussière dans ma bibliothèque… Paradoxalement, c’est cette même promesse mêlée à ce besoin de sortir de ma zone de confort qui m’a fait lire ce livre…
Un roman assurément Sex, Drug & Rock’n Roll ! Assez dérangeant et trash mais terriblement séduisant ! Âme sensible s’abstenir car Franco Mannara n’épargne personne et vous entrainera dans une bien sombre histoire ! Je préfère vous mettre en garde, on ne sort pas indemne de ce voyage choc dans les ténèbres de la nuit parisienne au côté de cette pilule bleue qui fait fureur. On y laisse un morceau de son âme à l’instar de ces personnages liés à cette dérive macabre… On devient facilement accro à l’histoire, à la noirceur qui en émane et à l’écriture de l’auteur… Je suis ressortie pleinement conquise de Je m’appelle Birdy et par son auteur !
J’ai littéralement dévoré ce roman qui prend aux tripes, son scenario est aussi haletant qu’effrayant ! Pour un premier roman, Franco Mannara frappe fort, c’est carrément bluffant ! Très addictif, avec un côté trash très assumé, Je m’appelle Birdy, a été une très belle découverte, une superbe surprise !
D’habitude, j’aime parler de l’intrigue qui nous embarque dans un univers sombre, de cette tension latente qui fait frémir ou encore m’étendre sur ces personnages écorchés qui arrive à nous séduire. Pourtant, j’en resterai à ces quelques lignes. Je préfère laisser le mystère entier car il faut en connaitre le moins possible pour découvrir et apprécier ce petit chef d’œuvre underground ! Il faut savoir par moment lâcher prise, surtout avant de partir en compagnie de Paolo et de Birdy dans ce milieu rock underground, des nuits parisiennes et autres initiations ! Juste une petite mise en garde, au détour de cette escale, vous risquez de découvrir des prédateurs qui sont prêts à tout pour assouvir leurs fantasmes et leurs sombres projets, qui vont feront frémir…
Franco Mannara, nous livre sans aucune concession, une histoire remarquable, qui prend aux tripes, qu’on se retrouve incapable de lâcher. A la fois provocateur, musical et drôle, le style de l’auteur est incroyable, très séduisant, vif mais surtout poétique…
Je m’appelle Birdy est un jeu de hasard potentiellement mortel, procurant mille et une émotions et sensations ! Addictif, prenant, haletant jusqu’à la toute dernière ligne. Un récit à sensation original… Donc, êtes-vous prêt à jouer à la roulette russe aux côté de Paolo et de Birdy ? N’hésitez pas, dite oui. Lâchez prise et jouer le jeu avec Franco Mannara. En tout cas, j’en redemande et je recommande fortement ce roman !
http://hidesbouquine.blogspot.fr/2017/07/je-mappelle-birdy-franco-mannara.html
J'ai lu ce livre dans le cadre de mon partenariat avec Calmann-Levy. C'est un premier roman pour Franco Mannara. Et autant vous le dire, c'est un gros kiff me concernant !!
Je ne vais pas vous peecher l'histoire parce que la 4ème de couverture remplit parfaitement son rôle. J'ai refermé ce livre il y a quelques jours, et je l'ai encore en mémoire. Mon ressenti là tout de suite ? Bordel ! quel putain de bon bouquin !! Oui je vous l'accorde c'est un peu vulgaire, mais c'est vraiment çà. Du coup j'ai un peu de mal à comprendre les critiques pas vraiment tops que j'ai lues. Bon je sais bien qu'on ne peut pas plaire à tout le monde, qu'il en faut pour tous les goûts, toussa, toussa. Mais Je m'appelle Birdy a été pour moi une claque mémorable !!
Pourquoi j'ai adoré ce livre ? Pour plusieurs raisons. D'abord pour l'histoire. Je l'ai tout simplement trouvé super originale. Même si on note quand même quelques petites maladresses, l'histoire se tient, et nous tient en haleine. Franco Mannara plante le décor à sa façon : drugs and rock'n roll, pour ensuite nous entraîner dans une spirale infernale. Personnellement j'étais conquise dès les 50 premières pages.
Ensuite il y a le style de Franco Mannara. Il a un style bien à lui. C'est un style frais et percutant comme je les aime. Honnêtement, j'ai pris énormément de plaisir à lire ce livre. Même si il faut bien l'avouer, certains passages sont trash et certaines âmes sensibles pourraient être choquées. Parce que Franco Mannara n'épargne pas ses personnages. Notamment Birdy. Cette jeune fille paumée qui vit en marge de la société. Elle est attachante de par ce qu'elle a vécu et ce qu'elle vit.
Paolo est quant à lui un personnage auquel on s'attache également rapidement. Si au départ, on a plutôt l'impression d'avoir à faire à une simple caricature d'un chanteur de rock, on va vite s'apercevoir qu'il n'en est rien.
Et puis il y a tous les autres, les personnages secondaires, qui apportent tous leur pierre à l'édifice et qui font de ce roman un roman atypique. Tous les personnages ont une particularité, un petit grain, quelque chose qui font qu'on s'intéresse à eux.
L'histoire en elle-même fait froid dans le dos, parce que d'actualités, parce qu'elle fait écho à certaines vérités. Pour moi Je m'appelle Birdy a toutes les qualités pour en faire un très bon polar. C'est un livre qui sort des sentiers battus, qui nous emmène dans les bas-fonds d'une jeunesse perdue qui joue avec sa vie. Mention spéciale à la couverture pour la quelle j'ai littéralement craqué dès le départ.
En conclusion, Je m'appelle Birdy, est un livre qui fera très certainement parti de mon top 5 de l'année 2017. J'espère que Franco Mannara ne s'arrêtera pas en si bon chemin, parce que franchement pour un premier roman il place la barre très haute.
Tout d'abord petite mention spéciale à la couverture que je trouve vraiment chouette.
Paolo, guitariste dans un groupe, survie grâce à plusieurs petits boulots.
Il accepte de jouer les détective privé pour Vinoval en suivant Sonia Crémence dit "Birdy".
Au même moment éclate dans Paris une crise sanitaire : des jeunes meurent sans explication après l'ingestion d'étranges pilules bleus vendues par des dealer. L'inspecteur Ibanez, ancien gitan est chargé de l'enquête.
Paolo et Ibanez vont être tout les 2 amenés à mener l'enquête,y ayant chacun des raisons personnelles : Ibanez chercher sa soeur Encarna mêlée de près ou de loin à cette affaire tout comme Birdy, pour laquelle Paolo sent une étrange attirance et envie de protection.
J'ai eu énormément de mal à me mettre dans l'histoire, beaucoup de longueur, de descriptions et passages inutiles, pour au final aimé les derniers chapitres.
Lors de la lecture de ce livre j'ai eu l'impression d'assister à une sorte de guerre "raciale" type seconde guerre mondial ou seul l'élite ayant le droit de vivre, un holocauste à travers des petites pilules bleus.
Il y a également pas mal de détail sordide mais utile pour nous faire comprendre les choix de Birdy, qui n'en sont pas en faite...
J'espère que l'auteur nous fera un 2ème roman reprenant les mêmes personnages principaux, j'ai en effet envie de les voir évoluer et en apprendre un peu plus sur Paolo, l'auteur étant resté très flou sur celui-ci. Même si je ne retiens pas que tu positive, j'encourage l'auteur sur cette voie
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