"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Mondialement connu pour ses pièces de théâtre, Strindberg rédige Jardin des Plantes en 1895 et 1896. Ce texte est l'illustration de l'éclectisme de son auteur et de son impressionnante soif de savoir. Il lit à cette époque des ouvrages scientifiques en tout genre ; il tente des expériences chimiques dans sa chambre à l'hôtel, ainsi que dans un laboratoire de la Sorbonne, et il prend des notes sur ses observations botaniques au Jardin des Plantes. Il considère ce Jardin comme le symbole du paradis terrestre, contenant tout le texte de la création, comme il l'explique dans l'ouverture de Stenarnes suckan (Le soupir des pierres), la première partie de Jardin des Plantes.
Le texte de l'écrivain suédois est ici publié avec des illustrations de Antonio Marinoni, artiste italien connu par le public français pour ses illustrations des albums jeunesse : L'heure bleue et Velours et Le nez d'un voleur (les deux chez Naïve). Ses illustrations mélangeant citations d'art et mises en scènes botaniques, proposent une lecture vraiment surprenante de ce texte oublié de Strindberg.
Ce livre n'a jamais été réédité depuis sa parution en 1896 ; 2012 sera "l'année Strindberg" avec le premier centenaire de sa mort.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !