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C'est en été 1923, lors d'un bal, que Monique Saint-Hélier rencontre Rainer Maria Rilke. Elle a vingt-sept ans, lui vingt de plus ; il est célèbre, mais elle l'ignore, car elle n'a qu'une connaissance limitée de la littérature en langue allemande, et l'oeuvre du poète autrichien n'est encore que très peu traduite.
C'est Rilke qui, quelques mois plus tard, prend l'initiative de la correspondance. Le poète a été touché par la fragilité physique de Monique Saint-Hélier. Ils s'écriront jusqu'à la mort du poète, à la fin de 1926. La connivence qui naît entre Rilke et Monique Saint-Hélier est en partie due au fait que leurs angoisses et leur mal de vivre se ressemblent ; au fait, aussi, que le poète, lui-même malade, interprète la souffrance physique dans un sens mystique, comme l'expression d'une élection. Grâce à cette vision, Monique Saint-Hélier parviendra à conférer une signification à la dégradation de son état physique. Rilke aura beaucoup contribué à la maturité littéraire de Monique Saint-Hélier.
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