"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« Syndicat à risque cherche capital à risque »« Vivre, produire et consommer autrement »« Protectionnisme transitoire » Des slogans « choc » suivis par des actes. Pour mieux lire le présent, voici le récit d'un combat, celui du Belge Jacques Hardy qui, en tant que dirigeant syndical de 1972 à 1998, a fait une guerre incessante aux groupes financiers et aux multinationales et que l'on a arbitrairement baptisé « l'homme à la tronçonneuse » lors de la mort de la sidérurgie dans le sud de la Belgique. Il a tout tenté pour sauver des entreprises en perdition jusqu'à s'impliquer dans la création d'une entreprise (IMS) après la fermeture de Intermills (papèterie) et à proposer des solutions aux délocalisations. Il a arraché au groupe Saint-Gobain, 200 millions de FB (5 millions d'EUR) et a été à la base d'une société d'investissement (SIBS/NADIR) qui à ce jour, a généré plus de 3 000 emplois sans un franc à charge du contribuable. En 1998, Jacques Hardy et Marie du Berry son épouse, sont partis vivre au coeur de la France, au pays de George Sand et du Grand Meaulnes.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !