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Le 2 août 1980 au matin, un terroriste inconnu déposa à la gare de Bologne une valise pleine d'explosif.
La détonation eut lieu à 10 h 25 : à cette minute précise les aiguilles de l'horloge de la gare s'immobilisèrent et cette image, reproduite dans tous les journaux, devint comme un symbole du terrible événement. Le jour des Morts, trois mois après le massacre, Margherita Guidacci se trouve à Bologne. " Le 3 novembre, écrit-elle, je fus réveillée par un silence étrange. J'ouvris la fenêtre et vis les toits recouverts d'une épaisse couche de neige.
Tandis qu'immobile je contemplais ce spectacle inattendu, me revint en mémoire la dernière page des Dubliners de Joyce, cette neige qui tombe "sur tous les vivants et sur tous les morts". Et à ce moment même me vint le désir de composer un Requiem pour ceux qui étaient morts dans cette ville. " En cet attentat, le plus meurtrier qui ait jamais été commis en Europe, Margherita Guidacci reconnaît la terrifiante figure de ce siècle qui, à travers guerres, goulags et génocides, a porté la violence jusqu'à des extrémités encore insoupçonnées.
Requiem pour notre temps, requiem pour une histoire tout entière marquée par l'héritage d'un même mal : " De la première étoile de sang naît tout un firmament. "
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