Groupes sataniques, attention !

• Date de parution : 15/06/2007
• Editeur : Edilivre
• EAN : 9782917135174
• Série : (-)
• Support : Papier

• Nombre de pages : (-)
• Collection : CLASSIQUE
• Genre : Littérature française
• Thème : Autobiographies contemporaines
• Prix littéraire(s) : (-)

Julie Ramasomanana a vécu des expériences extraordinaires qu'elle relate dans son autobiographie intitulée " groupes sataniques, attention ! ". Elle a connu des succès et des échecs dans tous les domaines de la vie.
Après avoir défié le diable, elle a osé faire du spiritisme et les conséquences... Voir plus

Julie Ramasomanana a vécu des expériences extraordinaires qu'elle relate dans son autobiographie intitulée " groupes sataniques, attention ! ". Elle a connu des succès et des échecs dans tous les domaines de la vie.
Après avoir défié le diable, elle a osé faire du spiritisme et les conséquences en sont multiples : maladie psychiatrique, alcoolisme, possession satanique, etc... Le choc de ses cultures malgache et française a donné bien du fil à retordre aux psychiatres, aux exorcistes et autres marabouts qui l'ont soignée, ainsi que vous le constaterez dans son livre.

Le Dr. Leclerc m'avait lâchée seule dans la nature, tout en sachant très bien que j'étais malade. Puisque la psychothérapie n'avait pas marché avec lui, pourquoi ne m'avait-il pas adressée à un confrère ou mieux, à une consoeur ? La seule chose bénéfique qu'il a faite à mon sens, a été de ne pas me donner de médicaments, dans la mesure où j'étais étudiante et où j'avais besoin de toute ma tête pour mener de front et mes études et ma lutte contre mes voix. Toujours est-il que, pendant cette psychothérapie, Pat et moi, nous divorçâmes courant 1980, d'un divorce par consentement mutuel. Le juge m'avait demandé si je voulais toucher une pension alimentaire (dans la mesure où Pat avait trouvé un job d'étudiant à l'année) ; je répondis que je n'étais pas comme ça, que je ne voulais pas prendre l 'argent de Pat. Après cette psychothérapie ratée, je me trouvais le plus rapidement possible un copain chez qui je vécus environ trois mois. Puis, j'allais chercher une chambre chez l'habitant, laissais tomber complètement le copain qui à mes yeux n'avait aucune valeur (il travaillait dans une banque au service informatique mais y était un sous-fifre) et re-contactais Pat.