L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Le Gna, Mo et Melle, leurs parents s'amusent avec les églises où l'on parque les exclus, les malades et où les bébés se grattent au rythme de la comptine des virus. Ils s'amusent avec l'Ordre du Grand Suicide de la race humaine et quand ils ne s'amusent plus assez, les fantômes d'Hollywood viennent à leur secours... Puis ils recommencent car cette comédie-là dure depuis toujours et ne s'arrêtera jamais.
Ici seul le repassage est important car les gestes simples sont ceux qui distraient le mieux de la mort ou du devoir vivre quand on ne peut plus s'accrocher à une souffrance bien à soi, bien différente de celle des autres. Peut-être ne voit-on vraiment ses semblables qu'à la lumière de l'Apocalypse. Pièce créée au Studio de la Comédie française.
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