L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Profuse et protéiforme s'il en est, papillotante, nostalgique, l'oeuvre de Georges Perec se prête à la production scientifique, rigoureuse et documentée, mais aussi à la promenade, à la flânerie, au jeu des contraintes. Composée de trois petits livres, cette promenade s'ouvre sur un abécédaire égocentrique en 53 entrées. Ce nombre, vu comme une contrainte molle, fait référence à son ouvrage posthume « 53 jours ». Elle se poursuit, en position centrale, par les propres Je me souviens de l'auteur et ce en s'efforçant de suivre les contraintes et le format que Perec avait choisi pour les siens. Enfin elle se conclut sur un parcours de son travail cinématographique, autre versant moins connu de son oeuvre, puis sur une promenade autour des salles de cinéma qu'il a fréquentées dans son enfance, sa jeunesse et sa maturité.
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