L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
On ne connaissait pas jusqu'à présent en France les réflexions esthétiques de Günther Anders. Dans ce domaine comme dans les autres il se montre encore une fois hérétique. Son George Grosz, qui n'a rien d'un essai traditionnel d'historien de l'art est sans conteste l'étude la plus pénétrante consacrée
au peintre berlinois, célèbre pour la cruauté de ses dessins. Les historiens de l'art ont généralement méprisé l'oeuvre de Grosz à partir des années 30 et de son exil aux États-Unis. Anders montre au contraire la profonde unité de cette oeuvre marquée par un pessimisme absolu et dont il montre de façon
convaincante qu'elle est l'une des plus importantes du siècle.
Mais ce texte bref va bien au-delà : dans un style qui va droit à l'essentiel, ce sont les questions les plus fondamentales de l'art moderne qui sont ici passées au crible de la réflexion iconoclaste d'Anders : celle de la figuration, de la force politique d'une oeuvre, du rôle véritablement démiurgique du créateur.
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