Tobi emploie une méthode originale assez comparable à celle dont s'est servi Ionesco dans La Cantatrice chauve. Il entreprend de décrire la création de l'univers propre à Ionesco de la même façon que la Genèse définit celle de l'Univers qui est le nôtre. Ainsi fait-il jaillir de l'oeuvre dramatique et littéraire de Ionesco la lumière, les flores, les bestiaires, l'homme et la femme. Il évoque ensuite la Faute et l'Apocalypse. Cet Eugène Ionesco ressemble à une étrange « Imitation de Yahvé ».
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