Alice a quatorze ans quand elle est hospitalisée : un premier roman foudroyant
À quoi ça rimerait de refaire Entre-temps ou Echoir, à part ressasser les mêmes mots en poèmes. En fin de compte, je me suis décidé à composer un livre (dédoublé) de mille et une séquences comme une princesse arabe, avec moins d'illusion que jamais, sans rien en attendre. Alors pourquoi continuer à écrire ? Voilà sans doute une bonne question et pour y répondre il faudrait la lucidité d'un type bien armé comme le chevalier Descartes postulant un hiver, dans son poêle, la méthode adéquate. Cela dit, nous en sommes maintenant à la douzième année, au troisième lustre, et «rien n'a vraiment changé» (écrivais-je hier). Je confirme. Il n'y a ni miracle ni consolation possibles. Eté c'est juste la figure rabâchée du martin-pêcheur, ce sont aussi des poèmes d'amour et du temps qui passe, un pléonasme, qu'importe, il s'agit de vivre tant bien que mal, et on sait que la poésie se meut dans une indifférence à peu près générale et on s'en désole à peine alors que nous devrions hurler notre fureur ou quoi.
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