Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Chaque recueil d'Esther Tellermann est une étape, un chapitre isolé d'un récit plus ample, énigmatique, embrasé et voilé tour à tour - puis rendu à ses propres cendres. Encre plus rouge prolonge bien sûr cette narration obstinée, inaugurée voici bientôt vingt ans. Mais au-delà d'une évidente continuité, ce nouveau volume marque une inflexion sensible dans son déroulement : on y percevra l'intonation sinon réconciliée, du moins plus apaisée d'une voix toujours attentive au chant des morts enfoui sous la parole des vivants. Dans la troisième partie, notamment, la méditation s'avère d'une limpidité tendue, souveraine, tournée vers quels dieux absents ? - ou fugacement présents dans la béance de ces pages, comme autant d'éclairs, de fractures, de visions... Poème inscrit sur une terre inconcrète et sans nom.
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