L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Dans la grande tradition de la littérature animalière, suivant Jules Renard et Maurice Genevoix, Pierre Présumey approche intimement et tendrement les bêtes des territoires ruraux. « Le cerf, écrit-il, est une personne, comme sans doute au moins tous les mammifères, dès lors qu'on a croisé vraiment leur regard. »Ces rencontres animales, ces face-à-face, Pierre Présumey les a bien souvent éprouvés, grandeur nature, au coeur des espaces sauvages de Haute-Loire, d'Ardèche et de Lozère qui lui sont familiers comme pêcheur, cueilleur, marcheur et observateur.Mais pour le professeur de lettres classiques qu'il est aussi, les rencontres s'opèrent également dans la littérature.Avec cerfs, sangliers, écureuils, loutres, rouges-gorges, merles ou couleuvres, sont convoqués les mots qui les ont célébrés. Ceux de La Fontaine, Homère, Virgile, Gustave Roud, Philippe Jaccottet, Julien Gracq, René Char...Le cartographe et carnettiste Bernard Deubelbeiss a éclaboussé le papier de couleurs aquarellées. Elles esquissent les portraits de ces animaux sauvages qu'il nous est donné quelquefois de rencontrer, en personnes.
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