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Lorsqu'il compose le " De consolatoria castitatis laude " pour sa soeur, la moniale Fuscine, Avit de Vienne s'inscrit dans la tradition du discours sur la virginité. Très présent dans la littérature ascétique, ce thème reflète la situation particulière qu'occupe la " uirgo " dans la société chrétienne de l'Antiquité tardive, tant dans le monde grec que dans le monde latin. Dans un tel contexte, la décision de vivre dans la virginité perpétuelle est une forme d'émancipation qui permet à la femme d'acquérir une certaine liberté par rapport à l'homme en se dégageant des devoirs et vicissitudes liés au mariage. À la différence de l'" uxor ", elle n'est pas soumise aux caprices d'un époux sévère, ou victime d'un veuvage précoce ; elle n'affronte pas non plus les dangers de la maternité, mais libre de toute obligation terrestre, elle se consacre uniquement à son épanouissement spirituel. D'un point de vue littéraire, l'ouvrage d'Avit est aussi bien éloge poétique de la virginité consacrée que consolation adressée à la vierge qui a abandonné le monde, ou épithalame célébrant les noces spirituelles de la moniale et du Christ. Après l'édition complète de l'" Histoire spirituelle " (voir SC 444 et SC 492), cet ouvrage apporte une contribution capitale à l'étude de la poésie de l'évêque de Vienne et à la connaissance de la société du VIe siècle.
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