Formée en Design textile à l'Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles,
Élise Peroi (°1990, Nantes) vit et travaille à Bruxelles.
« Dans les oeuvres d'Élise Peroi, tous les éléments communiquent et
s'équilibrent, comme en mécanique des fluides. Tout le travail est tissage.
Matière, motif, outil, symbolique et geste créatif sont comme autant de fils
qui s'entrecroisent dans les fibres du temps et de l'espace, tressant des
architectures émotionnelles qui atteignent l'usager au plus profond de sa
psyché. » (Sandra Caltagirone, in L'art même n° 82, 2020)
Son travail s'inspire de techniques ancestrales propres au tissage, à la
tapisserie et aux arts dits textiles, pour lesquels, la notion du geste, du faire,
acquiert autant de valeur que le résultat. C'est un travail dans lequel la notion
de temps et de patience prend aussi toute son importance.
Dès 2015, Élise Peroi est invitée à participer à la résidence organisée
par la Fondazione Aurelio Petroni. Ses recherches donnent lieu à une
collaboration avec la danseuse et chorégraphe Mui Cheuk-Yin avec qui elle
performera à Bruxelles et à Hong Kong.
Le travail avec le corps, l'art contemporain et les techniques du tissage,
l'amènent à élargir ses domaines de recherches et à collaborer avec de
nombreux musiciens dont le violoncelliste Roel Dieltiens et le compositeur
Thomas Jean Henri. L'artiste participe à de nombreuses expositions
collectives en France, en Belgique et en Italie depuis 2015.
En 2018, son oeuvre fait l'objet d'une exposition personnelle au Musée Mode
& Dentelle à Bruxelles. En 2020, Proche du Soleil est son premier solo show
à la galerie Maria Lund (Paris).
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Découvrez les derniers trésors littéraires de l'année !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
