L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Les images se mélangent, se recouvrent, des voix résonnent encore, des silhouettes passent, fugitives. C'était l'enfance. On peut toujours essayer de la faire taire, elle ne cesse de parler en nous. Enchantée, ou encombrante, l'enfance sert de référent, de point d'appui. Elle serait la clé, parfois égarée, pour accéder à l'essentiel. Quelle langue parle notre enfance pour que, bien des années plus tard, le souvenir en soit aussi vivace ? Marie-Louise Audiberti explore ici la littérature. Proust, Loti, Gombrowicz, Sartre, Montaigne, Gorki, Yourcenar, Canetti, Camus, Lewis Carroll. Sous la forme d'un recueil de thèmes phares - l'école, les parents, grandir, rêver, jouer... - les mots réinventent ce que nous avons laissé se perdre, nous rattrapent, retentissent, en écho de notre propre histoire. Ecoutons l'enfance comme elle se raconte.
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