L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Parce qu'elle a retrouvé un cahier griffonné dans son enfance, Nadia Esteba en reprend quelques pages, simples, accessibles, sans toutefois n'être qu'une jongleuse de mots. D'un seul regard sa vérité balaye les rituels et traditions venus du fond des âges, incontournables, le sacré, le religieux intimement liés aux saisons à un changement de moeurs. Dans le respect des hommes d'Oc, de leur terre qui jusque-là ont protégé la vigne de leurs mains, de leur corps, en osmose avec les éléments, la nature ; au gré des facéties du vent, des orages, de la mer chérie, l'homme profond qui s'extasie. Dix saisons parfois en une seule journée, il comprend, s'adapte, s'accroche à son paradis, comme au premier matin du monde dans un attachement vibrant. Nadia, a réécrit l'agenda d'une vision poétique en français, mais aussi dans l'expression idiomatique vernaculaire, l'occitan, qui reprend la langue identitaire, parlée au Moyen-âge, longtemps interdite, ressuscitée de nos jours où les hommes authentiques replongent dans leurs racines. Ce n'est que de la poésie, celle des gens d'ici qui ont l'espoir caché au fond du fond du coeur comme un talisman.
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