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Les 42 dents aiguisées et les hurlements du Canis lupus, même hors des soirs de pleine lune, ont alimenté les fantasmes de dizaines de générations.
Le diable prend chez Jean Beauvoys de Chauvincourt deux visages : l'acrobate (auquel il consacre le premier ouvrage européen en langue vulgaire : Trois dialogues sur l'art de sauter et voltiger en l'air, 1599) et le loup-garou, sujet de son Discours de la lycanthropie sur la métamorphose des hommes en loups, publié la même année. Ces deux êtres d'exception sont doués de pouvoirs " démoniaques ". L'auteur adhère avec facilité aux méfaits de la lycanthropie.
Avec une naïveté déstabilisante et un engouement rare, il révèle étendue et profondeur d'une croyance ancestrale partagée par ses contemporains dont l'objet, en forme d'obsession collective, est le loup, et selon laquelle le diable métamorphose les hommes en carnassiers à quatre pattes. Le loup-garou, c'est celui qui marginalise et abaisse jusqu'à la bestialité. C'est le rejeton du néant, surgi de l'enfer et du tombeau.
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