L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Au début du XVIIe siècle, d'étranges tableaux se glissent parmi les natures mortes : comme elles, ils figurent avec art les objets du quotidien mais les placent autour d'un crâne qui semble frapper d'inanité les richesses et les beautés qui l'entourent. Ces Vanités, du nom qu'on leur donnera, renvoient à ceux qui les admirent le spectacle de leur misérable condition. Mais, curieux paradoxe, elles rendent ainsi plaisant l'objet le moins plaisant qui soit, et signalent peut-être qu'une stratégie sert l'expression du sentiment de vanité : difficile à formuler, difficile à entendre, la vanité ne saurait-elle se dire au siècle de Pascal que par certains biais ? C'est à cette question que Karine Lanini se propose de répondre, à travers l'analyse de ces Vanités et des textes contemporains qui dévoilent la vanité humaine.
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