De ses pérégrinations dans le Sud-Ouest de la France et en Espagne, résultent autant de lieux dont la lumière fascine Didier lapène, et qu'il cherche à saisir comme l'a fait un de ses maîtres Joaquin Sorolla.
Lorsqu'il peint la Gran Via de Madrid la nuit, la géométrie des immeubles et le choix des couleurs incarnent la solitude des grandes villes comme dans les tableaux d'Edward Hopper. Il n'est pas surprenant de trouver dans cet ouvrage des portraits et des paysages, urbains et marins. De Cadiz à Pau, de la côte basque au paseo d'Alicante, chacun des sites a été peint en recherchant l'esprit du lieu ou, comme dans un portrait, "à atteindre son âme".
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