L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
« Après mes premières insomnies, maman m'a conseillé
de compter les moutons. Je ne suis pas le meilleur de la
classe en maths mais franchement j'aurais pu atteindre un
ou deux millions avec cette technique. Je n'en pouvais
plus des moutons. Ils envahissaient tout... »
De son lit d'hôpital, Marco raconte le monde, son monde. Il saisit avec drôlerie le quotidien de ses proches, transformant chacun en super-héros : une mère forte et douce qu'il imagine star de cinéma, un père un peu bougon et maladroit, un frère qui veut devenir un athlète pour séduire la fille dont il est amoureux, un cousin qui se prend pour un écrivain...
Faisant appel à ses souvenirs, l'enfant devient le romancier d'une histoire familiale pleine de fantaisie et de rebondissements. Entre nuit et jour, entre sommeil et veille, rêve et réalité se mêlent.
Ce roman est une très jolie découverte.
Jolie découverte de la plume de l’auteur que j’ai trouvé fluide, douce et pleine d’humour mais aussi très jolie découverte de l’histoire et surtout du petit Marco.
Une histoire qui aurait pu tomber dans le sombre et le tristounet, mais qui par la lumière et la légèreté qu’elle dégage, nous emporte avec émotions et sentiments.
Marco est un jeune ado malade, un arbre « grandit » dans son ventre…
Il a mûri un peu trop vite et son regard sur la vie n’est plus tout à fait celui d’un jeune garçon ; sa maturité face à la fatalité est poignante.
Depuis sa chambre, il nous raconte sa vie, ses rencontres, ses souvenirs, son frère, son cousin, sa mère, son père.
Avec ses mots, ses émotions et son humour il nous relate son quotidien.
Il nous parle de ses amis, de celle dont il est amoureux, des escapades à Florence.
Quelquefois perdus dans ses rêves, ses délires, mais le plus souvent dans sa vraie vie pleine de poésie, de sourires, d’espoir.
J’ai été touchée et émue.
Sans jamais tomber dans la sombritude, ce roman est un hymne à la vie, à l’amour, à l’enfance, un hymne à l’espoir et au combat contre la maladie.
Ce sont des instantanés de la vie d’un enfant plus tout à fait comme les autres : les petits bonheurs familiaux, les joies et les peines, les quiches immangeables de sa maman et en fond toujours présente la maladie qui ne laisse aucun répit.
Un roman chaleureux et touchant, et un peu douloureux je l’avoue.
Un très joli roman.
Sur un thème pas très joyeux.
La maladie chez les enfants.
J’ai immédiatement accroché à la plume de Michaël Uras.
Le sujet est dur, mais l’écriture est douce et délicate.
Un texte humain et sensible.
Marco, est extrêmement attachant.
Un garçon plein de vie, d’espoirs et de rêves malgré la maladie.
Ses phrases et pensées sont ponctuées d’humour.
Un humour assez innocent que j’ai beaucoup apprécié.
J’ai été ému à plusieurs moments dans ce livre.
Mais je dois dire que le dernier quart m’a particulièrement serré la gorge.
Je découvre l’auteur et ce livre m’a donné envie d’aller lire ses autres livres.
J’ai adoré !
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