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L'ouvrage se compose de textes écrits entre 1916 et 1918.
Meidner est alors traducteur dans un camp de prisonniers. L'écrit prend la place de la peinture, son matériel se réduisant à des carnets, qu'il appelle ses "carnets de psaumes". Cette prose poétique devient le pendant de l'oeuvre dessinée, qui illustre par ailleurs l'ouvrage. Bien que rédigée dans un contexte de guerre, elle ne tombe nullement dans le désespoir. Au contraire, Meidner recommande au dessinateur de ne pas craindre "la vide blancheur du papier".
Il est animé d'une "volonté ardente de créer un monde nouveau". C'est ici l'oeuvre d'un grand esprit, par laquelle on pénètre à la fois les ténèbres d'une pensée, les mystères de la création et le quotidien d'un artiste. Souvent drôles, ces réflexions sont des mémoires de guerre d'un nouveau genre. Pour exemple : "La mort est encore bien loin de moi. Il faut savoir picoler. Il y a toujours une bouteille de rhum sur la table de chevet.
Un peintre doit beaucoup bouffer. Il a alors des inspirations bruegéliennes. Des insanités montent du ventre rebondi. Il faut hurler de rire comme un prolétaire, se moucher très bruyamment, proférer des jurons vulgaires."
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