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Les contributions réunies dans l'ouvrage examinent la pertinence de la notion de « communauté du royaume » comme outil pour comprendre les structures des entités politiques d'une large partie de l'Occident médiéval (Scandinavie, Empire, France, Angleterre et Écosse, pays tchèques) entre le Xe et le début du XIVe siècle. Cette notion peut recouvrir l'ensemble des hommes libres d'un royaume, qui ont le sentiment de former une communauté, ou bien une section de cette population, généralement les élites, qui estiment, face au roi, représenter la « communauté du royaume ». La dimension éminemment politique de cette notion explique qu'elle puisse avoir servi de cri de ralliement aux mouvements d'opposition à la royauté ; même lorsque le syntagme communitas regni est absent, on peut souvent percevoir, dans les programmes réformateurs comme dans les chroniques, les contours d'une « communauté » dont l'identité relève de l'imaginaire politique. Examiner l'Occident médiéval du point de vue des « communautés de royaumes » permet de s'interroger de manière renouvelée sur les fondements des entités politiques dans une phase où les bureaucraties n'ont pas encore partout connu d'essor.
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