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En lisant ce livre de Michel Lamart, suite de réflexions métaphysiques et poétiques sur la photographie, le lecteur ne peut s'empêcher d'appréhender le réel par rapport à l'image et aux différentes définitions de Qu'est-ce que la photo par rapport à la manière dont je me pense. Étonnante vibration que déclenche ce livre au plus profond de notre intime, qui nous interroge tel un instrument de connaissance ne cherchant pas à nous définir de manière partielle mais plutôt à nous renvoyer à cette question : « Qui suis-je ? ». Interrogation qui ne peut que vibrer en nous jusqu'à ne plus rien savoir comme si finalement la réponse était déjà dans la question qu'appréhende ici le sujet de la photographie dans toutes ses dimensions. Note de l'éditeur Dans « Léonard et les philosophes », Paul Valéry, en 1929, écrivait : « Il est clair que le Bien et le Beau sont passés de mode. Quant au Vrai, la photographie en a montré la nature et les limites : l'enregistrement des phénomènes par un pur effet d'eux-mêmes, exigeant le moins d'Homme possible, tel est « notre Vrai ». Voilà ce que je constate. » (Variété) N'est-il pas temps de remettre ici le plus d'Homme possible ? » Poésie. Extrait de la préface Le titre de cet ouvrage est emprunté à l'exposition Le Tokyo de Daido Moriyama qui fut présentée à la Fondation Cartier, du 6 février au 5 juin 2016.
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