Alice a quatorze ans quand elle est hospitalisée : un premier roman foudroyant
Tu me dis que la mort inspire mes écrits.
Que sur les collines de Golgotha je vis.
Et que de sang je parfume mes poésies.
Ébloui par un soleil écarlate et gris .
Tel un arc-en-ciel tu as mon âme attendrie .
De tous ces squelettes qui s'y faisaient orgie.
Et que j'avais enflammés puis ensevelis .
Lentement mais sûrement dans mon coeur aigri .
Vivre avec moi c'est s'épanouir de mes pluies .
Et caresser du regard mes lueurs de nuit .
Qui chaque jour font de moi un ange meurtri.
Mais il faudra d'étoiles écraser ma lune .
Pour que demain de bonheur mes pensées s'embrument .
Et qu'à jamais de tes baisers je m'amertume.
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