L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
La « chronique égocentrique » d'Enrico Rhôna n'a aucune prétention scientifique ! Plus modestement son récit reflète la vision de cet événement historique que fut le confinement par un retraité curieux et espiègle, vissé à sa radio et collé à sa télévision ou à son smartphone quand il n'était pas plongé dans la lecture des journaux quotidiens ou des magazines. Jour après jour jusqu'au 11 mai, terme officiel de « l'épreuve », il a donc rédigé son bulletin de santé mentale entre deux promenades dûment autorisées par le Gouvernement. L'expérience fut d'autant moins pénible qu'il réside en bord de Méditerranée et qu'il a eu la chance d'être épargné par l'horrible « détresse respiratoire ». C'est toujours le cas et c'est pourquoi en mettant le point final provisoire à son journal, rigoureux sur les faits et malicieux dans leur interprétation, il a pensé qu'il pourrait être partagé. Que des lecteurs s'y retrouveraient au fil des pages et que, d'indignations légitimes en digressions surréalistes, ils en apprécieraient autant le bon sens que le non-sens...
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique