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Le Traité des délits et des peines, petit livre publié à Milan en 1764 par un jeune philosophe du nom de Beccaria, poursuit une étonnante carrière depuis sa parution. Les hommes politiques y font fréquemment référence en invoquant sa vision " libérale " des peines en matière criminelle.
D'où vient que le jeune Beccaria, " philosophe " au sens où on l'entend au XVIIIe siècle, publie ce Traité rapidement écrit et librement composéoe A-t-il une " histoire ", une filiation intellectuelle ? Si oui, faut-il les chercher dans l'histoire même du droit ? Ou bien le travail philosophique entrepris au début du XVIIIe siècle serait-il la matrice intellectuelle de cette vision renouvelée de l'homme criminel ?
Ces questions sont plus que jamais d'actualité. La sévérité pénale est un enjeu politique. Il n'est pas de semaine qu'un politicien ne s'empare de Beccaria et n'en brandisse, à plus ou moins bon escient, le libéralisme réel mais beaucoup plus complexe qu'il n'y paraît. Le présent ouvrage offre ainsi une nouvelle lecture de l'humanisme beccarien, tout empreint de l'idéologie dominante de son temps : l'utilitarisme.
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